200 policiers kenyans ont été déployés dans le pays le mardi 25 juin, dans l’objectif de sécurisé Haïti, plus précisément la capitale, qui est le bastion des groupes armés depuis un certain temps.
En effet comme travail, ils ont erré dans la capitale,visitant quelques endroits par ci, par là,mais ne sont pas encore en activité. Mais le 6 juillet dernier,ils ont été déployé à l’ambassade des États-Unis situé à Tabarre, dans la perspective de sécurisé ladite institution, cela pourrait insinuer que le travail commence. Sécurisé les institutions, vont faire fuir les bandits armés.
Pendant que la situation va de mal en pis, la force multinationale est en mode pause, ce qui suscitent les opinions des citoyens haïtiens, qui dans un premier temps attendaient avec impatience l’arrivée de ces troupes,pour atténuer la situation. De nombreux citoyens de la capitale, veulent vivre libre et tranquille dans ce coin de terre,ils ne demandent que la sécurité et la libre circulation dans le pays pour vaquer à leur occupations.
Par ailleurs, certains disent qu’ils sont fatigué de vivre dans cette situation, et disent clairement que cette force ne va rien faire pour leur sortir de ce pétrin. Nos policiers ne sont pas encadré, et la violence montre en recrudescence.
Dans l’un des abris provisoires, dans le Ministère de la Communication,dans la capitale, des personnes contraint d’abandonner leur maison,et reste là sur le qui-vive des organisations, et l’État qui ne dit et fait rien pour eux. On a interrogé une dame sur la question de la force multinationale, elle a répondu qu’elle est fatiguée de cette vie, se réveiller tous les jours avec l’espoir que quelque chose va changer, mais il ne reste plus un brin d’espoir. Les policiers kenyans sont là, mais ils ne font rien pour nous sortir de cette situation,désormais c’est Dieu qui est notre unique espoir.Et on espère qu’un jour il y aura un allé mieux.
Nonobstant, ces personnes là sont désespèré, elles doutent de la volonté de cette force à combattre les gangs armés, il y en a parmi eux qui pensent que c’est un complot, pour exterminer la population haïtienne. Un jeune qui a perdu son père,dans la guerre des gangs, a clairement dit qu’il faut une guerre civile dans le pays pour changer la cour des choses.
Donc, suite à ce premier déploiement, le peuple reste sceptique face à la venue du premier contingent, l’insécurité gangrène la population haïtienne, mais ces derniers ne fassent pas preuve de bienveillance envers le peuple Haïtien, et ne prennent pas à cœur leur mission. Les résultats escomptés sont encore mises en veilleuse.
À noter que le colonel Humler Rebu, a fait savoir que pour aborder le problème de l’insécurité en Haïti,il faut une approche technique et militaire, et a même déclaré que la force multinationale n’est pas en mesure de gérer ce problème.
