Lors du Clasico entre le Real Madrid et le FC Barcelone, un but potentiel de Lamine Yamal, qui aurait permis aux Catalans de prendre l’avantage 2-1 à la 27e minute, n’a pas été validé par la VAR. Cette décision a suscité la colère du président blaugrana Joan Laporta, déjà éprouvé par l’élimination en quarts de finale de la Ligue des champions contre le Paris Saint-Germain.
Dans une déclaration officielle, Laporta a demandé à la Fédération de lui fournir toutes les images et audios de ce but annulé, affirmant que s’il est établi qu’une erreur a été commise, des mesures seront prises pour rectifier la situation, y compris des recours juridiques. Il a également évoqué la possibilité que le match soit rejoué, mentionnant l’exemple de la rencontre belge entre Anderlecht et Genk, où une erreur de la VAR avait également entraîné une demande de rejouer le match.
Cette démarche met en lumière les enjeux entourant l’utilisation de la VAR et l’impact qu’elle peut avoir sur le résultat des matches de haut niveau. La réclamation du FC Barcelone soulève des questions sur l’équité et la transparence dans l’arbitrage et met en évidence l’importance pour les instances dirigeantes du football de garantir l’intégrité et la justice dans le sport.